A la base de la vie, il y a la diversité,
l’hétérogénéité... de la faune
et de la flore.
La bio reprend ces grands principes.
A l’inverse, un OGM est fait pour obtenir un seul
caractère unique, uniforme, et le recopier à de multiples
reprise.
La plante obtenue sera donc homogène : c’est un peut
l’idée de la race unique, qu’a eu, en son temps,
Hitler.
O G M : qui sera responsable ?
Pour les Bio, aucun seuil n’est acceptable.
Ne serait-ce que pour des raisons réglementaires : l’usage
des OGM est interdit en bio et un lot contaminé par la voie des
airs, du sol, du matériel agricole... se verrait retire du
marche.
A ce jour, il n’existe pas de texte législatif pour
dégager des responsabilités en cas de contamination. Il y
a un vide juridique.
Les assurances privées refusent d’assurer ce risque.
La responsabilité reposera-t-elle alors sur la
collectivité (donc nos impôts), les agriculteurs, ou les
firmes semencieres ?
Pour le moment, c’est les agriculteurs bio qui en subissent les conséquences.
Il serait normal, quand il y a une contamination OGM, que les firmes semencieres en assures le risque :
- Quand on fait des profits on doit aussi en assumer les pertes.
- Quand on joue au poker : on perd ou on gagne.
Les OGM et l’agriculture bio semblent bien incompatibles.
OGM : le gène terminator
Ce gène a été conçût pour obliger les
agriculteurs a racheter chaque année de la semences ; alors
qu’en règle générale ceux-ci en gardent une
partie au moment de la moisson ; ne renouvelant entièrement
leurs semences que par exemple tous les trois ans.
Ce gène tue à l’intérieur de la plante le
gène reproducteur : la plante n’est donc plus fertile.
L’année suivante le resemis est impossible.
Il faut alors racheter de la semences aux firmes semencieres.
Ce gène a été en premier lieux crée, pour
êtres destine au pays en voie de développement :
Les populations ayant peu de moyens financiers ; ils renouvellent que très rarement leurs semences.
Le gène terminator aurait contraient par la force des choses le rachat des semences aux firmes multinationales.